lundi 25 janvier 2016

DISCUSSIONS CHAUDES ET ENFILAGE



Depuis quelques jours, Stéphanie m’appelle lorsque les enfants sont au lit et me miaule de tendres et jolis mots tandis que mes doigts fouillent mon entre-jambes. Je suspecte la belle d’en faire autant puisque ses mots, à bien des occasions, s’espacent sans raison … ou alors parce qu’elle en perd la raison, bonne raison. Elle aurait bien voulu que je la rejoigne samedi soir ; - ils dormiront, je te jure … mais moi, ça me fait encore peur tout ça. Enfin, son ex devrait récupérer les chérubins vendredi soir et elle me rejoindra pour le weekend. Ça me convient.

  
Yves est arrivé comme convenu, en pas de souris et … trois petits coups sur le plafond de ma chambre pour me dire qu’il voulait entrer, par devant, par derrière, de n’importe quelle manière. Excité le monsieur. Mais moi aussi je l’étais et c’est dans une parfaite (quoique quelques courbes) nudité que je lui ouvris. Il me fit la bise, sur les lèvres, sur les seins, mon ventre et mes lèvres, puis entra en secouant ses bottes. En un tournemain, il était nu, moi étendu sur la table de la cuisine, les jambes bien écartées et son manche en moi.

Huuuuuuuuuummmmmmmmmmmm!

Ça faisait tout de même un bail que je n’avais pas baisé avec monsieur et monsieur avait en plein ce que j’avais besoin. Après quelques va-et-vient il me chantant à l’oreille « tu aimerais que t’encule? ». « Non! » lui dis-je «  c’est trop bon là où tu es ». Monsieur c’était bien retenu tout au long de la semaine alors il remplit le petit ziploc de protection à moitié. 


Après un bon café … « please, laisses-moi m’insérer dans ton adorable petit cul ». Avouez que c’était bien dit. Penché sur la table, je lui offris donc ma croupe à trois conditions : une entrée douce et lente, une baise énergique et le petit jus en collation. Puisque mon cul n’avait pas servi récemment, j’ai eu besoin de préparation pour l’accueil de tout son long. Mais une fois bien au fond, je lui ai donné le « GO ». Et, bien entendu, au moment d’évacuer son restant de stress de la semaine, il a libéré mon derrière, a retiré son plastic et, le temps que je me retourne, la chaude petite sauce frappait déjà mon menton. Mais je récupérai le reste comme un sage dame.


Il nous fallut bien 2 cafés cette fois-ci avant que monsieur se montre coopératif pour une troisième valse de ses reins … toujours sur la table

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