Breeeeeeeeh! Le printemps tarde à se présenter. Trop froid pour moi. Je retourne sous les couvertures avec ma belle Pamela, toute nue, toute chaude, toute ... enfin, vous savez!
dimanche 30 mars 2014
samedi 29 mars 2014
DÉBUT DE WEEKEND
Encore beaucoup de neige sur le Québec, faut donc un dernier petit effort pour bien nettoyer autour de la maison avant l'arrivée du printemps
Journée ménage et ce soir, je rejoins Pam dans une discothèque avec des copines à elle. J'ai bien l'intention de lui faire des gros câlins dans les toilettes. Puis, demain, on va a la piscine avec des copines a moi suivi d'un petit repas au resto ... ça promet
Je ne sais pas pour vous mais ... je suis tellement intriguée par ses hommes-femmes, lui ou elle, au masculin ou au féminin. Une ambiguïté qui m'excite beaucoup. Faudrait bien que j'explore un peu
vendredi 28 mars 2014
DUR TRAVAIL
Ouf! Déjà levée parce que je dois être au boulot très tôt ce matin. Et je n'ai même pas envie de m'habiller. Hum! Ce serait bien de ce rendre au travail à poil, naviguer au travers un bureau ou tout serait à l'image de la nudité et voir la directrice de l'administration avec ses grosses mamelles derrière une dactylo ...
L'idée me plait bien, mais je ne suis pas certaine que tous y adhèrerait
Bonne journée et mille bizous!
jeudi 27 mars 2014
PLAISIRS AU QUOTIDIEN
Hier soir, j’ai reçu une réponse de Frédérique
Chère Sarah, chère Pamela,
Effectivement, j’ai bien aimé la tournure de cette
petite fête à laquelle vous avez participé chez moi. Et j’ai bien aimée vous
recevoir dans mon lit. Pamela, tu as un ventre si doux a caresser. Et toi,
Sarah, j’ai un merveilleux souvenir de tes lèvres tendres.
Sachez que je ne voudrais pas vous décevoir. Mes
draps accueillent beaucoup de femmes et je crois que c’est mon attitude qui les
attire dans mon lit. Je crois être une bien piètre amante, mais je suis très
disponible et ouverte. Alors, si l’aventure vous intéresse toujours, je
pourrais vous réserver une nuit juste pour nous trois. C’est un peu difficile
les fins de semaine étant donné que mon loft est ouvert pour la fête les
samedis et dimanches. Toutefois, je n’ai rien de planifier pour vendredi dans 2
semaines.
A vous de voir,
Bizou, Fred
J’ai fait parvenir le courriel à ma belle Pamela
pour savoir ce qu’elle en pensait. En fait, elle m’a téléphoné pour que je lui
raconte pour se baiser que Frédérique et moi avions échangés. Je lui ai dit que
son magnifique corps tout chaud et endormie entre nous avait certainement amené
ce moment de tendresse et que je l’avais fait parce qu’elle était présente
(petit mensonge par trop grave, enfin, je crois). Pamela m’a semblée convaincue
et nous avons répondu que nous serons au rendez-vous. J’ai bien hâte.
Puis, vendredi dernier, Sam m’a écrit ce petit mot
au sujet de sa rencontre avec le jeune homme :
Salut ma belle !
Hum ! Quelle merveilleuse rencontre j’ai eu
avec ce jeune homme. Début de la vingtaine, imberbe, grand et mince, pas
beaucoup de fesse toutefois et une queue magnifique, longue, rasée de prêt, les
couilles aussi, comme j’aime bien en ce moment.
Lorsqu’il a ouvert la porte, il était en jean
(taille basse) et torse nu. On s’est présenté, il a barré la porte derrière
nous et j’ai déposé l’argent sur la table. L’endroit n’était pas très grand, un
2 1/2. Il s’est dirigé vers sa chambre à coucher (un matelas posé directement
au sol avec des draps épars et un bureau dont les tiroirs semblaient craquer),
je l’ai suivi. Je lui ai demandé de garder son jean pour l’instant et je me
suis mis à poils. Puis, je l’ai rejoint dans le lit. Hum ! Une peau douce
et dure. Il avait certainement prit une douche parce que son corps sentait bon
le savon. Je l’ai embrassé dans le cou, tendrement. Il m’a demandé de ne pas
faire de marque parce qu’il a une blonde et elle ne connait pas ses activités.
Il s’est inscrit sur le site gay parce qu’il n’a pas d’emplois présentement et
a besoin de fric. Il sait que c’est plus facile avec les mecs et ça ne lui
déplait pas. Il accepte même la sodomie, mais moi, j’avais d’autres plans.
J’ai poursuivi mon exploration e ses épaules, son
torse et son ventre plat, baisers doux du bout des lèvres, laissant glisser ma
langue sur sa peau à l’occasion. Il était tout mignon. J’ai défait son jean et
lui ai demandé de se retourner. J’ai recommencé le même manège, son cou, ses
épaules, son long dos, sa chute de rein, puis, agrippant son jean, j’ai dégagé
ses fesses, ses cuisses, jusqu’à lui
retirer au complet. Je me suis installé confortablement entre ses jambes et ai
dégusté ses fesses, léché son petit anus tout propre et délicat. Je ne me
voyais pas plonger ma queue dans ce petit cul qui me semblait si fragile.
Et je l’ai aidé à ce retourner. Son sexe était semi
dure. Je l’ai relevé de ma main et me suis mis à sucer ses belles couilles qui
ont rapidement durcies, suivi de son sexe qui prit une ampleur magnifique et
bien intéressante. Et là, j’ai pas pu résister. Je me suis mit à sucer sa queue
avec l’envie de le sentir jouir. Plus je m’activais, et plus je sentais qu’il
faisait de gros efforts pour ne pas jouir tout de suite. Mais il semblait bien
apprécier. Après quelques minutes de cette torture, je l’ai invité à se laisser
aller et lui ai dit qu’il pouvait jouir dans ma bouche. Il n’a pas résisté plus
longtemps et s’est mis a éjaculer, cinq longs jets de bon sperme chaud. J’ai pas
eu le choix d’en laisser échapper parce que je ne voulais pas avaler. Mais sa
petite sauce avait si bon goût. Je l’ai gardé longtemps en bouche avant de tout
recracher sur son ventre doux.
J’avais vu qu’il y avait de petites serviettes à
main posé sur la vanité de la salle de toilette. Je lui ai dit de me laisser
faire et suis allé imbiber une serviette d’eau pour revenir nettoyer son
ventre. Moi, je ne me suis pas rincé la bouche car je voulais conserver sa
saveur.
Il est allé nous préparer des cafés que nous avons pris,
nus, à la petite table.
C’est un bien gentil garçon. Nous allons
certainement nous revoir.
Bizou ma belle, Sam
Alors voilà ! Vous savez tout de la rencontre
de mon copain avec ce jeune homme. D’ailleurs, je crois bien que nous en
entendrons parler encore.
mardi 25 mars 2014
SEMAINE DE PLAISIRS
Ouf ! Quelle semaine. Et un weekend en or.
Mille plaisirs ont accompagné ma dernière semaine avec ma belle Pamela qui
était en permanence chez moi. Nous nous sommes bien gâtées l’une l’autre. Étant
donné que je travaillais en semaine, c’est elle qui me comblait à mon retour à
la maison et moi, je me suis reprise de belle manière pour le weekend. Petit
déjeuner au lit, bain moussant en matinée. Nous avons passé ce weekend cloitré,
nue et totalement amoureuses. Lorsqu’elle est partie lundi matin, elle avait de
la difficulté à marcher, son sexe irritée par mes cunnilingus à répétition.
Je suis réellement en extase avec cette petite
merveille, si jeune, si intelligente, si mince, avec ces mignons petits seins
aux pointes bien affilées qui durcissent à la moindre attention. Son sexe
magnifiquement épilé et son clitoris qui gonfle dès que l’on si attarde. Et sa
mouille si délicieuse que je lèche sans m’en lasser. Un goût suave et doux. Son
petit cul solide. J’aime écarter ses fesses et passer ma langue le long du
sillon comme un voyage dans une vallée délicieuse. Tout d’elle est bon. La
senteur de ses aisselles lorsqu’elle s’excite, sa langue qui me fouille la
bouche, chaque doigt de pied, son dos, long, mince et droit. Sa nuque qui
semble si fragile. Parfois, je me demande vraiment ce qu’elle fait avec une
femme qui a 2 fois son âge, des seins lourds qui ne tiennent plus, un petit
ventre, de grosses fesses et complètement immature.
Je suis en amour
Mais je sais que je ne suis pas stable. Que je
risque de lui faire mal. Et ça me fait peur. D’ailleurs, je n’ai pu m’empêcher
de lui parler de cette nuit qu’elle a passé entre Frédérique et moi. Même si
elle en était que légèrement consciente et que pour elle, nous nous sommes retrouvées
là que pour dormir. Bien sûr, elle m’a dit ce souvenir, juste avant de s’endormir,
de la main de Frédérique sur son ventre alors que je lui caressais les seins.
- Est-ce que tu aimerais que nous passions une autre
nuit avec Frédérique
- Tu veux dire … plus intime
- Oui ! J’ai aimé te voir entre elle et moi. Ça
pourrait être plaisant. Tu crois qu’elle nous recevrait à nouveau ?
- Je ne sais pas. Je ne la connais pas vraiment. C’est
Geneviève qui m’avait invité à cette soirée. Frédérique, je ne la connais pas
vraiment. Et je ne saurais comment entre en contact avec elle.
- Oh ! Ben … elle m’a laissé son adresse
courriel, et je croyais que tu la connaissais bien.
Il y eu alors un silence. Pamela me semblait
soudainement intimidée et excité tout de même. Je me risquai.
- Nous pourrions lui envoyer un courriel
- Comment veux-tu lui demander ça ?
- Ben ! Je crois qu’on ne doit pas tourner
autour du pot et lui demander directement ce qui nous intéresse.
Nous nous sommes donc installées à l’ordinateur et
nous lui avons envoyé le petit courriel suivant :
Chère Frédérique,
Nous avons passé une très belle soirée chez toi
samedi dernier. Mais surtout, nous ne parvenons à oublier la merveilleuse nuit
auprès de toi dans ton grand lit. Bien que nous sommes demeurées bien timide,
ce fut bien agréable de ce coller à toi et profiter de ta douce chaleur.
Nous en avons beaucoup discuté et sommes venu à la
conclusion que ce serait magnifique de passer à nouveau une nuit intime avec
toi dans le seul but de vivre une aventure délicieuse, empreinte de plaisirs,
de caresses, de petites douceurs et de sensualité.
Qu’en dis-tu ?
Est-ce que l’idée te plait ?
Pamela et Sarah
Alors voilà ! Les dés sont jetés et nous
attendons sa réponse. Je ne suis pas certaine que Pamela soit tout à fait en
accord avec ce petit projet, mais je crois bien qu’elle désire surtout me faire
plaisir. J’espère ne pas me bruler à ce petit jeu.
Puis, y a mon copain Sam qui m’a écrit pour me
raconter sa rencontre avec le jeune mec jeudi dernier. Je vais trouver quelques photos
croustillantes sur le net et je vous joins son récit dans quelques jours.
Bizou
jeudi 20 mars 2014
GLISSE TA LANGUE
Quel merveilleux plaisir, depuis quelques jours, d'avoir ma belle avec moi, nuit et jour, pour mon plus grand bonheur.
Hier soir, je me suis endormie après que celle-ci m'eut épuisé par ces délicates attentions entre mes jambes. Et ce matin, c'est par sa langue dans ma chatte que je me suis réveillée.
Évidemment, je lui ai hurlé mon plaisir
Hier soir, je me suis endormie après que celle-ci m'eut épuisé par ces délicates attentions entre mes jambes. Et ce matin, c'est par sa langue dans ma chatte que je me suis réveillée.
Évidemment, je lui ai hurlé mon plaisir
mardi 18 mars 2014
PAM À LA MAISON
Alors voilà, ma belle Pamela venir me rejoindre pour la nuit, et la suivante, et la suivante ... jusqu'à dimanche. C'est sympa non! Elle n'a pas de cour pour le reste de la semaine. Alors, après son travail ce soir (elle termine à 21 heures) elle arrivera avec son baluchon. J'ai bien hâte. Je crois que je vais lui ouvrir complètement nue, préparer un bain bien chaud (parce qu'elle aura eu une grosse journée = école + travail), mettre un peu de musique et nous faire couler un petit rosé sucré.
Après, on fera l'amour, mais pas trop parce que moi, je suis plus vieille et je travail demain matin très tôt. Mais je vais certainement abuser un peu d'elle pour les prochains jours.
Mon copain Sam m'a envoyer un courriel pour me dire qu'il est bien excité. Il a trouvé l'annonce d'un étudiant universitaire qui arrondis ses fins de mois en se servant de son joli corps. Il a rendez-vous jeudi matin (congé de cour jeudi matin) et a bien hâte. Évidemment, je lui ai fait promettre de tout me raconter dans les moindres détails. Hum! Un petit mec de 20 ans ...
lundi 17 mars 2014
PÂMÉ LÀ!
Hum ! Quelle magnifique soirée de girls ce
samedi soir dernier, chez Frédérique, une copine de ma belle Pamela. Elle a un
très grand loft du centre-ville. Tout est à ère ouvert, sauf pour les toilettes,
quoique c’est pas tout le monde qui ferme la porte pour aller faire un petit
pipi. Puis, une mézanine pour sa chambre avec un grand lit King. Nous étions
une vingtaine dans la place. Le tout était passablement soft pour débuter,
puis, plus la soirée avançait, plus la sagesse faisait place aux délices et aux
plaisirs.
Je portais un blouson et une mini très ajustée, sans
petite culotte comme toujours dans ce type d’événement. Pamela avait son jeans
délavé et une mince camisole à bretelle. Je lui avais demandé de ne pas porter
de soutif pour l’occasion, alors la pointe de ses mignons petits seins faisait
ravage à voir.
Quelques filles, ne supportant pas la chaleur,
firent disparaître leur chemise ou t-shirt, dansant en soutif ou seins nus.
Puisque Frédérique avait placé des coussins un peu partout dans la pièce et il
y avait des couples allongés sur les coussins, parfois très intimement. Tard en
soirée, alors que quelques girls étaient partie faire le party dans les bars et
que nous n’étions plus qu’une dizaine, je me suis installé contre des coussins
dans un coin avec ma belle. Nous n’avions envie que de tendresse.
Un jeune couple s’installa près de nous. A peine 18
/ 19 ans. Zaïka et Noémie. Noémie étant passablement saoule, Zaïka commença à
la déshabiller très lentement, avec des gestes très doux, lui chuchotant des
mots d’amour, comme s’il n’y avait personne d’autre dans la pièce. Lorsque la
jolie Noémie fut nue, Zaïka commença à l’embrasser se magnifique petit corps à
la peau laiteuse. J’aurais bien voulu en faire autant avec Pamela, mais elle ne
voulait pas s’exhiber ainsi, ne connaissant pas suffisamment ces filles. Elle
me laissa tout de même mettre ma main dans son jeans et la caresser, tandis que
Zaïka arrivait à l’entre-jambe de sa copine qu’elle ouvrit grandement pour la
lécher amoureusement. Noémie était trop paf pour jouir, mais les sons qui
sortaient de sa bouche ne laissaient aucun doute sur le plaisir qu’elle en
retirait.
Vers 3 heures du matin, Frédérique ferma les lumières
et invita celles qui n’étaient pas encore endormi à la rejoindre dans son grand
lit pour bien dormir. Ayant ajusté le chauffage pour nous permettre de dormir
nue au besoin, nous étions confortable avec les quelques draps. J’installai ma
belle Pamela entre Frédérique et moi alors que Carolane et Jolène s’installèrent
au bout de nos pieds. Une fois Pamela bien endormie par nos douces caresses,
Frédérique me présenta sa bouche qui avait soif d’un peu d’intimité. Sans doute
parce que nos 2 copines du bout du lit faisaient l’amour tendrement.
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