Hier soir, j’ai reçu une réponse de Frédérique
Chère Sarah, chère Pamela,
Effectivement, j’ai bien aimé la tournure de cette
petite fête à laquelle vous avez participé chez moi. Et j’ai bien aimée vous
recevoir dans mon lit. Pamela, tu as un ventre si doux a caresser. Et toi,
Sarah, j’ai un merveilleux souvenir de tes lèvres tendres.
Sachez que je ne voudrais pas vous décevoir. Mes
draps accueillent beaucoup de femmes et je crois que c’est mon attitude qui les
attire dans mon lit. Je crois être une bien piètre amante, mais je suis très
disponible et ouverte. Alors, si l’aventure vous intéresse toujours, je
pourrais vous réserver une nuit juste pour nous trois. C’est un peu difficile
les fins de semaine étant donné que mon loft est ouvert pour la fête les
samedis et dimanches. Toutefois, je n’ai rien de planifier pour vendredi dans 2
semaines.
A vous de voir,
Bizou, Fred
J’ai fait parvenir le courriel à ma belle Pamela
pour savoir ce qu’elle en pensait. En fait, elle m’a téléphoné pour que je lui
raconte pour se baiser que Frédérique et moi avions échangés. Je lui ai dit que
son magnifique corps tout chaud et endormie entre nous avait certainement amené
ce moment de tendresse et que je l’avais fait parce qu’elle était présente
(petit mensonge par trop grave, enfin, je crois). Pamela m’a semblée convaincue
et nous avons répondu que nous serons au rendez-vous. J’ai bien hâte.
Puis, vendredi dernier, Sam m’a écrit ce petit mot
au sujet de sa rencontre avec le jeune homme :
Salut ma belle !
Hum ! Quelle merveilleuse rencontre j’ai eu
avec ce jeune homme. Début de la vingtaine, imberbe, grand et mince, pas
beaucoup de fesse toutefois et une queue magnifique, longue, rasée de prêt, les
couilles aussi, comme j’aime bien en ce moment.
Lorsqu’il a ouvert la porte, il était en jean
(taille basse) et torse nu. On s’est présenté, il a barré la porte derrière
nous et j’ai déposé l’argent sur la table. L’endroit n’était pas très grand, un
2 1/2. Il s’est dirigé vers sa chambre à coucher (un matelas posé directement
au sol avec des draps épars et un bureau dont les tiroirs semblaient craquer),
je l’ai suivi. Je lui ai demandé de garder son jean pour l’instant et je me
suis mis à poils. Puis, je l’ai rejoint dans le lit. Hum ! Une peau douce
et dure. Il avait certainement prit une douche parce que son corps sentait bon
le savon. Je l’ai embrassé dans le cou, tendrement. Il m’a demandé de ne pas
faire de marque parce qu’il a une blonde et elle ne connait pas ses activités.
Il s’est inscrit sur le site gay parce qu’il n’a pas d’emplois présentement et
a besoin de fric. Il sait que c’est plus facile avec les mecs et ça ne lui
déplait pas. Il accepte même la sodomie, mais moi, j’avais d’autres plans.
J’ai poursuivi mon exploration e ses épaules, son
torse et son ventre plat, baisers doux du bout des lèvres, laissant glisser ma
langue sur sa peau à l’occasion. Il était tout mignon. J’ai défait son jean et
lui ai demandé de se retourner. J’ai recommencé le même manège, son cou, ses
épaules, son long dos, sa chute de rein, puis, agrippant son jean, j’ai dégagé
ses fesses, ses cuisses, jusqu’à lui
retirer au complet. Je me suis installé confortablement entre ses jambes et ai
dégusté ses fesses, léché son petit anus tout propre et délicat. Je ne me
voyais pas plonger ma queue dans ce petit cul qui me semblait si fragile.
Et je l’ai aidé à ce retourner. Son sexe était semi
dure. Je l’ai relevé de ma main et me suis mis à sucer ses belles couilles qui
ont rapidement durcies, suivi de son sexe qui prit une ampleur magnifique et
bien intéressante. Et là, j’ai pas pu résister. Je me suis mit à sucer sa queue
avec l’envie de le sentir jouir. Plus je m’activais, et plus je sentais qu’il
faisait de gros efforts pour ne pas jouir tout de suite. Mais il semblait bien
apprécier. Après quelques minutes de cette torture, je l’ai invité à se laisser
aller et lui ai dit qu’il pouvait jouir dans ma bouche. Il n’a pas résisté plus
longtemps et s’est mis a éjaculer, cinq longs jets de bon sperme chaud. J’ai pas
eu le choix d’en laisser échapper parce que je ne voulais pas avaler. Mais sa
petite sauce avait si bon goût. Je l’ai gardé longtemps en bouche avant de tout
recracher sur son ventre doux.
J’avais vu qu’il y avait de petites serviettes à
main posé sur la vanité de la salle de toilette. Je lui ai dit de me laisser
faire et suis allé imbiber une serviette d’eau pour revenir nettoyer son
ventre. Moi, je ne me suis pas rincé la bouche car je voulais conserver sa
saveur.
Il est allé nous préparer des cafés que nous avons pris,
nus, à la petite table.
C’est un bien gentil garçon. Nous allons
certainement nous revoir.
Bizou ma belle, Sam
Alors voilà ! Vous savez tout de la rencontre
de mon copain avec ce jeune homme. D’ailleurs, je crois bien que nous en
entendrons parler encore.
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