jeudi 27 mars 2014

PLAISIRS AU QUOTIDIEN



Hier soir, j’ai reçu une réponse de Frédérique

Chère Sarah, chère Pamela,

Effectivement, j’ai bien aimé la tournure de cette petite fête à laquelle vous avez participé chez moi. Et j’ai bien aimée vous recevoir dans mon lit. Pamela, tu as un ventre si doux a caresser. Et toi, Sarah, j’ai un merveilleux souvenir de tes lèvres tendres.

Sachez que je ne voudrais pas vous décevoir. Mes draps accueillent beaucoup de femmes et je crois que c’est mon attitude qui les attire dans mon lit. Je crois être une bien piètre amante, mais je suis très disponible et ouverte. Alors, si l’aventure vous intéresse toujours, je pourrais vous réserver une nuit juste pour nous trois. C’est un peu difficile les fins de semaine étant donné que mon loft est ouvert pour la fête les samedis et dimanches. Toutefois, je n’ai rien de planifier pour vendredi dans 2 semaines.

A vous de voir,

Bizou, Fred



J’ai fait parvenir le courriel à ma belle Pamela pour savoir ce qu’elle en pensait. En fait, elle m’a téléphoné pour que je lui raconte pour se baiser que Frédérique et moi avions échangés. Je lui ai dit que son magnifique corps tout chaud et endormie entre nous avait certainement amené ce moment de tendresse et que je l’avais fait parce qu’elle était présente (petit mensonge par trop grave, enfin, je crois). Pamela m’a semblée convaincue et nous avons répondu que nous serons au rendez-vous. J’ai bien hâte.

Puis, vendredi dernier, Sam m’a écrit ce petit mot au sujet de sa rencontre avec le jeune homme :


Salut ma belle !

Hum ! Quelle merveilleuse rencontre j’ai eu avec ce jeune homme. Début de la vingtaine, imberbe, grand et mince, pas beaucoup de fesse toutefois et une queue magnifique, longue, rasée de prêt, les couilles aussi, comme j’aime bien en ce moment.

Lorsqu’il a ouvert la porte, il était en jean (taille basse) et torse nu. On s’est présenté, il a barré la porte derrière nous et j’ai déposé l’argent sur la table. L’endroit n’était pas très grand, un 2 1/2. Il s’est dirigé vers sa chambre à coucher (un matelas posé directement au sol avec des draps épars et un bureau dont les tiroirs semblaient craquer), je l’ai suivi. Je lui ai demandé de garder son jean pour l’instant et je me suis mis à poils. Puis, je l’ai rejoint dans le lit. Hum ! Une peau douce et dure. Il avait certainement prit une douche parce que son corps sentait bon le savon. Je l’ai embrassé dans le cou, tendrement. Il m’a demandé de ne pas faire de marque parce qu’il a une blonde et elle ne connait pas ses activités. Il s’est inscrit sur le site gay parce qu’il n’a pas d’emplois présentement et a besoin de fric. Il sait que c’est plus facile avec les mecs et ça ne lui déplait pas. Il accepte même la sodomie, mais moi, j’avais d’autres plans.

J’ai poursuivi mon exploration e ses épaules, son torse et son ventre plat, baisers doux du bout des lèvres, laissant glisser ma langue sur sa peau à l’occasion. Il était tout mignon. J’ai défait son jean et lui ai demandé de se retourner. J’ai recommencé le même manège, son cou, ses épaules, son long dos, sa chute de rein, puis, agrippant son jean, j’ai dégagé ses fesses, ses  cuisses, jusqu’à lui retirer au complet. Je me suis installé confortablement entre ses jambes et ai dégusté ses fesses, léché son petit anus tout propre et délicat. Je ne me voyais pas plonger ma queue dans ce petit cul qui me semblait si fragile.


Et je l’ai aidé à ce retourner. Son sexe était semi dure. Je l’ai relevé de ma main et me suis mis à sucer ses belles couilles qui ont rapidement durcies, suivi de son sexe qui prit une ampleur magnifique et bien intéressante. Et là, j’ai pas pu résister. Je me suis mit à sucer sa queue avec l’envie de le sentir jouir. Plus je m’activais, et plus je sentais qu’il faisait de gros efforts pour ne pas jouir tout de suite. Mais il semblait bien apprécier. Après quelques minutes de cette torture, je l’ai invité à se laisser aller et lui ai dit qu’il pouvait jouir dans ma bouche. Il n’a pas résisté plus longtemps et s’est mis a éjaculer, cinq longs jets de bon sperme chaud. J’ai pas eu le choix d’en laisser échapper parce que je ne voulais pas avaler. Mais sa petite sauce avait si bon goût. Je l’ai gardé longtemps en bouche avant de tout recracher sur son ventre doux.

J’avais vu qu’il y avait de petites serviettes à main posé sur la vanité de la salle de toilette. Je lui ai dit de me laisser faire et suis allé imbiber une serviette d’eau pour revenir nettoyer son ventre. Moi, je ne me suis pas rincé la bouche car je voulais conserver sa saveur.

Il est allé nous préparer des cafés que nous avons pris, nus, à la petite table.

C’est un bien gentil garçon. Nous allons certainement nous revoir.

Bizou ma belle, Sam


Alors voilà ! Vous savez tout de la rencontre de mon copain avec ce jeune homme. D’ailleurs, je crois bien que nous en entendrons parler encore.

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