Ouf ! Quelle semaine. Et un weekend en or.
Mille plaisirs ont accompagné ma dernière semaine avec ma belle Pamela qui
était en permanence chez moi. Nous nous sommes bien gâtées l’une l’autre. Étant
donné que je travaillais en semaine, c’est elle qui me comblait à mon retour à
la maison et moi, je me suis reprise de belle manière pour le weekend. Petit
déjeuner au lit, bain moussant en matinée. Nous avons passé ce weekend cloitré,
nue et totalement amoureuses. Lorsqu’elle est partie lundi matin, elle avait de
la difficulté à marcher, son sexe irritée par mes cunnilingus à répétition.
Je suis réellement en extase avec cette petite
merveille, si jeune, si intelligente, si mince, avec ces mignons petits seins
aux pointes bien affilées qui durcissent à la moindre attention. Son sexe
magnifiquement épilé et son clitoris qui gonfle dès que l’on si attarde. Et sa
mouille si délicieuse que je lèche sans m’en lasser. Un goût suave et doux. Son
petit cul solide. J’aime écarter ses fesses et passer ma langue le long du
sillon comme un voyage dans une vallée délicieuse. Tout d’elle est bon. La
senteur de ses aisselles lorsqu’elle s’excite, sa langue qui me fouille la
bouche, chaque doigt de pied, son dos, long, mince et droit. Sa nuque qui
semble si fragile. Parfois, je me demande vraiment ce qu’elle fait avec une
femme qui a 2 fois son âge, des seins lourds qui ne tiennent plus, un petit
ventre, de grosses fesses et complètement immature.
Je suis en amour
Mais je sais que je ne suis pas stable. Que je
risque de lui faire mal. Et ça me fait peur. D’ailleurs, je n’ai pu m’empêcher
de lui parler de cette nuit qu’elle a passé entre Frédérique et moi. Même si
elle en était que légèrement consciente et que pour elle, nous nous sommes retrouvées
là que pour dormir. Bien sûr, elle m’a dit ce souvenir, juste avant de s’endormir,
de la main de Frédérique sur son ventre alors que je lui caressais les seins.
- Est-ce que tu aimerais que nous passions une autre
nuit avec Frédérique
- Tu veux dire … plus intime
- Oui ! J’ai aimé te voir entre elle et moi. Ça
pourrait être plaisant. Tu crois qu’elle nous recevrait à nouveau ?
- Je ne sais pas. Je ne la connais pas vraiment. C’est
Geneviève qui m’avait invité à cette soirée. Frédérique, je ne la connais pas
vraiment. Et je ne saurais comment entre en contact avec elle.
- Oh ! Ben … elle m’a laissé son adresse
courriel, et je croyais que tu la connaissais bien.
Il y eu alors un silence. Pamela me semblait
soudainement intimidée et excité tout de même. Je me risquai.
- Nous pourrions lui envoyer un courriel
- Comment veux-tu lui demander ça ?
- Ben ! Je crois qu’on ne doit pas tourner
autour du pot et lui demander directement ce qui nous intéresse.
Nous nous sommes donc installées à l’ordinateur et
nous lui avons envoyé le petit courriel suivant :
Chère Frédérique,
Nous avons passé une très belle soirée chez toi
samedi dernier. Mais surtout, nous ne parvenons à oublier la merveilleuse nuit
auprès de toi dans ton grand lit. Bien que nous sommes demeurées bien timide,
ce fut bien agréable de ce coller à toi et profiter de ta douce chaleur.
Nous en avons beaucoup discuté et sommes venu à la
conclusion que ce serait magnifique de passer à nouveau une nuit intime avec
toi dans le seul but de vivre une aventure délicieuse, empreinte de plaisirs,
de caresses, de petites douceurs et de sensualité.
Qu’en dis-tu ?
Est-ce que l’idée te plait ?
Pamela et Sarah
Alors voilà ! Les dés sont jetés et nous
attendons sa réponse. Je ne suis pas certaine que Pamela soit tout à fait en
accord avec ce petit projet, mais je crois bien qu’elle désire surtout me faire
plaisir. J’espère ne pas me bruler à ce petit jeu.
Puis, y a mon copain Sam qui m’a écrit pour me
raconter sa rencontre avec le jeune mec jeudi dernier. Je vais trouver quelques photos
croustillantes sur le net et je vous joins son récit dans quelques jours.
Bizou
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