lundi 19 août 2013

DÉNOUEMENT … LA RENCONTRE



Alors voilà, vendredi, c’est Tommy qui m’a ouvert en arrivant chez Sophie (qui avait déjà les mains pleines à préparer la réception). Comme si de rien n’était, elle m’a prise dans ses bras et nous nous sommes langoureusement embrassé, comme si nous étions déjà un couple. Et moi ? Je me suis laissé emporter par l’espoir d’une belle histoire avec cette fille. Pourquoi pas ? Elle m’a mise toute à l’envers depuis 2 semaines et là, je l’avais totalement dédié à ma petite personne. Comme un seul homme, l’homme du couple (je sais, ça peut paraître stupide dans un couple de femmes, mais Tommy est tout un personnage et je dois apprendre à le comprendre), il m’a guidé à un fauteuil qu’il/elle m’avait réservé et est partir me quérir un petit alcool pour me détendre.


Tommy portait un veston/pantalon en cuirette noir, un chemisier blanc (sans soutif, il va de soi) et un nœud papillon. Le seul petit côté féminin de son habillement, des escarpins de 8 cm pointu. Sans doute pour être plus grande que moi. Son comportement ne dérangeait que Sonia et Françoise, nos 2 petites ballerines qui ne se quittent jamais d’une semelle. Les autres sont tous jalouses de la chance que j’aie d’être au bras de Tommy. De mon côté, je portais une blouse pratiquement transparente qui ne cachait rien de mon joli soutif en dentelle rouge, une jupette rouge et un string blanc. A notre première visite dans les toilettes, elle m’a retiré ma blouse et mon soutif, a mis le soutif dans la poche de son veston pour faire son mouchoir rouge à m’a remis le blouson en me demandant de l’attacher avec un petit nœud pas trop serré afin de permettre à mes seins de se promener librement. Tant qu’à mon string, elle me l’a retiré avec des gestes très lents durant une danse, à la fin de laquelle elle a remis ma culotte à Juliette en lui disant un petit mot à l’oreille. La gamine à bien failli perdre connaissance sur le fait.


Julie et Solange (notre quinquagénaire exhibitionniste) on profité d’une danse très rythmée pour se déshabiller complètement dans un coin du salon et terminer sur leur vêtement, à faire tendrement l’amour, comme si nous n’existions plus. Comme si elles étaient seules au monde. Quel délicieux moment, ou tous étions bien excité par l’audace de leur jeux de mains et de bouches. Lors d’une discussion endiablée sur le Point G, Sophie qui était assise en face de moi à relevée lentement sa petite robe afin de me montrer qu’elle avait bel et bien rasée son sexe, qui était maintenant bien lisse. Je crois bien avoir été la seule a remarquer son petit jeu alors qu’elle me lança un œillade concupiscant. Elle nous avait réservé une petite chambre d’amis au sous-sol, ce que j’ai bien apprécié. Au moment de descendre au sous-sol, Tommy m’informa qu’elle avait demandé à la belle Juliette de nous ramener mon string lorsque nous serions à notre chambre. C’est ce qu’elle lui avait dit à l’oreille au moment de lui remettre mon vêtement.


A peine étions nous tendrement enlacé dans le petit lit, Juliette fit son apparition à la porte, l’ouvrant sans frapper, afin de bien nous surprendre … par surprise !  Il ne lui restait pour vêtement qu’une petite camisole et une culotte satinée. Nous lui avons fait une place entre nous, entre les draps, nos bras, nos doigts et nos bouches. La plus jeune du groupe, 20 ans, la blancheur de blanche neige, une poitrine si neuve et solide, un regard si innocent et une bouche si merveilleuse. Avec cette gamine entre mes bras, j’ai l’impression d’être une « matante », une vieille lesbienne qui veut encore un peu de jeunesse avant de passer à l’amour platonique. Nous avons passé une nuit merveilleuse, à nous aimer de toutes les façons imaginables et autres. Et a notre réveil, Juliette s’en était allé. J’ai donc jeté mon dévolu sur le corps poilu de Tommy.


Le samedi, nous avons passé la journée à jouer à des jeux plus ou moins coquins, jeux de rôle, ou les caresses et les baisers doux étaient les enjeux. Je suis resté nue toute la journée. A l’heure du repas du soir, Tommy sortie de son chapeau deux bouteilles de champagne et quelques victuailles et nous excusa de devoir quitter l’assemblée, il n’y en avait que pour deux. Nous nous sommes donc cloîtrée dans la chambre pour notre seconde nuit chez Sophie. Le champagne était pour nous soulager de la soif dans un premier temps, mais aussi pour glisser sur nos peaux afin que nous récupérions le délicieux nectar à même nos lèvres. Certaines collations servaient plus aux jeux qu’à nourrir. Quoique le yaourt Silhouette aux cerises de Danone était autant intéressant à étendre sur la maigre poitrine de mon homme ou entre ses cuisses, que calorique à déguster. Et quel plaisir de sentir entrer dans mon intimité des raisins verts et glacés, pour ensuite sentir la langue chaude de Tommy venir les récupérer en mon ventre. Et j’ai failli virer folle en masturbant violemment ma belle avec une banane déjà mûre (vous imaginé les dégâts) et lui étendre la purée sur tout le corps. Évidemment, j’ai tout mangé, ne laissant rien pour les autres.


Dimanche matin (il n’y avait plus que Sophie avec nous dans la maison), la maîtresse de maison nous a rejoints au lit avec le petit déjeuner. Tandis que nous étions délicieusement nues, la dame de maison portait son joli pyjama de coton rose avec des petits canards vert criard. Nous avons bien rigolé, lui racontant notre nuit de plaisir, les petits cris de Juliette la veille (évidemment, elle les avait entendu aussi), la lessive des draps que nous devrons faire avant de partir.

Autre dénouement … Tommy veux m’amener au chalet de ses parents à Rimouski la semaine prochaine. J’ai donc la semaine pour me trouver une raison de prendre une semaine a mes frais avec mon patron. Je lui en ai glissé un mot aujourd’hui, mais à toute évidence, il n’avait pas le temps pour jaser de ça (et nous sommes débordé présentement). Enfin, il m’a dit d’aller le voir demain et que nous en reparlerions. Je croise les doigts.

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